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L’Union Européenne (UE),
l’Organisation Mondiale de Santé (OMS),
l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord

(OTAN)

 

L’Europe, en tant que modèle libéral de libre circulation des personnes, des biens et des capitaux, est une nécessité absolue à notre époque.
Malheureusement, les partis traditionnels ont transformé l’UE (et le font encore) en un « super-État » centraliste, bureaucratique et planificateur.
L’UE s’attaque à des questions sur lesquelles elle n’a absolument rien à dire (par exemple, un certain
commissaire luxembourgeois souhaitait un droit civil uniforme dans l´UE), ce qui viole et érode la souveraineté des différents États-membres.


La redistribution des dettes entre États-membres ne devrait pas non plus être un objectif de l’Europe.
En bref, l’UE telle qu’elle existe aujourd’hui, dirigée de manière totalement antidémocratique, avec un énorme appétit de vouloir tout contrôler et réglementer, a tout simplement échoué.
La transformation d’une union économique en un seul État centralisé n’a jamais été souhaitée par les citoyens européens et n’obtiendra jamais une majorité lors d’un référendum (comme l’a démontré de manière impressionnante le référendum sur le traité de Maastricht en 2005 – à l’exception du Luxembourg).

Nous disons OUI à la coopération internationale, OUI à une union économique, mais NON à un État central européen.

L´UE N´A PAS BESOIN D´UN PARLEMENT

L’UE telle qu’elle existe aujourd’hui n’est plus réformable et doit être dissoute pour laisser place à une nouvelle union démocratique entre États souverains. L’union n’a pas non plus besoin de parlement : c’est pourquoi il existe des parlements nationaux, ainsi que
seulement quelques administrations pour les responsabilités qui s’exercent au niveau supranational : douanes, trafic de marchandises et de capital, marché du travail libre, etc., et tout cela sous le contrôle des gouvernements et parlements respectifs.


C´est pourquoi nous participerons également aux ÉLECTIONS EUROPÉENNES de 2024 : non pas pour rejoindre le système, mais pour contribuer à le combattre de l´intérieur. D´autres organisations internationales sont également sujettes à la critique.
Le Luxembourg a toujours été neutre. Le fait que notre pays ait été occupé à deux reprises par l’armée
allemande au cours des deux guerres mondiales nous a amené à renoncer à notre neutralité et à devenir membre de l’OTAN.
Mais l’Alliance de l’Atlantique Nord s’est concentrée sur la guerre froide contre le « bloc de l’Est ».
C’est probablement aussi dans ce contexte que notre pays a été frappé par une série d’attentats à la bombe

dans les années 80.

OTAN : NÉCESSAIRE OU PAS ?

Après l’effondrement du bloc communiste, une discussion sur le bienfondé (ou son absence) de l’existence continue de l’OTAN aurait dû être menée Mais, au contraire, elle s’est étendue à l’est de l’Europe et, avec l’inclusion de plus en plus d’anciens États du bloc de l’Est, la Russie a été soumise à une pression massive. De nombreux spécialistes de renommée internationale ont mis en garde à plusieurs reprises contre cette tendance, malheureusement en vain.

Aujourd´hui, l´OTAN représente bien plus de 50 % des dépenses mondiales de défense. Des pays comme la Suisse, en revanche, pratiquent depuis toujours une politique de neutralité en matière de politique étrangère avec beaucoup de succès. Elle y voit le garant de son indépendance et, en fin de comptes, de la garantie de la paix en Europe.
Selon ce principe, un pays neutre ne peut pas participer à une guerre entre deux autres pays. Il n’y a point de prise de parti, et des sanctions doivent en principe être décidées par les Nations Unies et non par une autre organisation.

SUIVRE L’EXEMPLE SUISSE

Malheureusement, la Suisse a violé ce principe dans la question des sanctions contre la Russie, ce qui entraîne
des tensions politiques internes.
Nous pensons qu´une discussion sérieuse doit être menée pour décider si le Luxembourg doit rester, ou non, membre de l´OTAN et revenir à son ancienne position de neutralité suivant le modèle suisse.

Ceci est d´autant plus justifié que le Luxembourg investit des sommes gigantesques dans l´armement, surtout sous la pression de l´OTAN.
Notre pays a été mis sous pression, d’ investir 2% de notre PIB (PIB, pas budget) dans les dépenses de défense : sur la base de notre PIB en 2022, cela représenterait 1,56 milliard d´euros, ce qui équivaut à 7% (!) de notre budget national.
Au lieu de dépenses militaires insensées et dangereuses, nous préférons investir cet argent dans les tâches
essentielles de l’État : lutter contre la pauvreté, logement, système de santé, éducation, infrastructures et sécurité intérieure !

LE RÔLE DE L´OMS

Un autre exemple de la façon dont les organisations internationales peuvent dégénérer au fil du temps est l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé. Aujourd´hui, cette organisation des Nations Unies est financée à 80 % par des donateurs privés, qui peuvent également déterminer les objectifs liés à ces sommes et ainsi influencer activement l´OMS.
Le plus grand donateur est la fondation privée de Bill et Melinda GATES. On peut donc dire que Bill Gates décide in fine de ce qui est sain, de ce qui rend malade, quelles maladies sont combattues (et lesquelles ne le sont pas).


L’OMS peut également déterminer quelles maladies sont considérées comme des pandémies et lesquelles ne
le sont pas. Cela s’est produit, par exemple, le 22 juillet 2022, lorsque la variole du singe a été déclarée une pandémie.
Même pour la grippe H1N1 (plus tard connue sous le nom de Corona), la réunion parlementaire de l´OCDE a
constaté que, via l´OMS, les intérêts de l´industrie pharmaceutique influençaient probablement les décisions politiques.
Cette situation nous semble inacceptable et ne devrait pas être financée par l’argent des impôts.

Cet argent est mieux investi dans la recherche médicale dans notre propre pays.

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